FIFA
La FIFA (Fédération Internationale de Fraudes et Arnaques) est une multinationale Suisse basée à Zoug. Sa devise est : « For the money. For us. ». Avec 5 milliards de chiffres d’affaire, elle a le temps de voir venir. Leurs revenus proviennent : du marketing, de la publicité, des droits télé, des taxes sur événements et des droits pour la marque. (Ainsi que de nombreuses magouilles d'après les ouï-dire). Les propriétaires sont le Brésil, l’Italie (viré en 2010), la France (selon eux), l’Allemagne, l'Angleterre (ce sont eux qui ont inventé le truc), l'Espagne (depuis 2010) et la Suisse forcément, c'est eux qui gèrent le fric.
La FIFA étant censée être une association à but non lucratif (Ha ha, la bonne blague !!), elle n'est soumise à aucun impôt.
Simon Lebrun
C’est le président directeur général ; il gagne 50'000 euros par mois. Il vient de faire construire un nouveau siège social au bord de Reims dans le village de Berru ; terrain parmi les plus chers du monde. L’édifice a coûté 20 millions d’euros avec pots de vin. C’est un schizophrène, il se croit drôle et est le seul à rire à ses âneries, le reste du monde se retient de tout propos. Généralement, c’est lui qui s’occupe du tirage au sort, comme c’est le roi. Ainsi, il reste plein feu devant les caméras. Durant les matchs, il veut être assis à côté des chefs d’états et quand vient la remise de la coupe, c’est lui-même qui lève la coupe avec le capitaine ; en particulier au Rose Bowl aux États-Unis. Il n'hésite pas à imiter le canard bourré et légèrement efféminé devant les Sud-Africains pour prouver qu'il y aura bien la Coupe du Monde 2010 en Afrique du Sud. Il possède également un remarquable accent Anglais.
Histoire
En règle générale, le vainqueur est décidé à l’avance. Avant-guerre, c’est Mussolini qui désignait le vainqueur. Et Bénito aimait bien l'Uruguay (simplement parce que ça sonnait bien). Après-guerre, c’est une fois pour l’Allemagne ou l’Italie, et une fois pour le Brésil. Ils ont néanmoins fait une fleur à Maradona, uniquement pour rester crédible, et une fois à l’Angleterre et la France afin de les calmer. L’Allemagne ne joue jamais contre le Brésil, mis à part en finale. Au tour préliminaire, ils jouent en général contre des petites équipes pour ne pas trop se fatiguer. L’Italie paie les arbitres, comme lors d'Italie-Australie en 2006. Avant la finale du mondial de 1934, Benito Mussolini est resté 45 minutes dans le vestiaire de l’arbitre. Pour faire quoi ? : jouer un scrabble. Benito Mussolini est resté président de la FIFA de 1920 à 1944, il a été pendu pour avoir suspendu le mondial durant la guerre.
Les fraudes
Le président de la FIFA, le Français Simon Lebrun, gérait son business avec des méthodes pour le moins frauduleuses. Fait majeur, la société ISL, crée par un proche de Simon Lebrun et chargée de la gestion des droits télés et du sponsoring, reversait régulièrement des sommes d’argent à la FIFA sans qu’on sache bien où elles atterrissaient. Andrews Jennings, lui, possède un bordereau prouvant qu’un million de francs ont ainsi été placé sur un compte particulier avec l’accord de Blatter.
Et l'Afrique dans tout ça ?
Pour la FIFA, l'Afrique est un sous-continent. En effet, il n'y a que très peu de consommateurs potentiels de son produit : le foot-business. L'Afrique a donc le droit de se taire. À titre d'exemple, la FIFA a moins de considération pour le Mali que pour les villes espagnoles de Séville et Madrid.
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