Voile (sport)

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La voile est un sport nautique pratiqué par des gens louches appelés communément voileux. On les reconnait à leur chevelure décolorée par le sel et le soleil et leur teint hâlé (ou rouge, c'est selon).

Définition, domaine et limite

Ahaha! Vous avez eu peur hein! Avec un titre de chapitre comme ça, vous vous êtes dit "oh merde, c'est un article sur les maths!". Et ben non. Bref.


On appelle donc voile le sport qui consiste à utiliser un support flottant à voile, autre qu'une planche (sinon c'est de la planche à voile) pour naviguer sur l'eau, que ce soit la mer, l'océan, un lac ou autre. Les rivières moins, parce que c'est coton de remonter une rivière à la voile, ou alors faut que le vent soit propice, ou alors faut virer de bord tous les quinze mètres, ou alors il faut que la rivière soit assez large, ou alors il faut un bateau qui remonte bien au vent.
Comme on l'a dit, la planche à voile ne peut être pleinement considérée comme "voile", parce que c'est plus physique que la voile stricto sensu, et donc que les parisiens et autres urbains en vacances à la mer ne peuvent en faire, mais surtout parce que c'est pas un sport noble, et donc les voileux, qui sont imbécilement pédants, ne la tolèrent pas dans leur groupe.

La voile est moyen le plus lent, le plus cher, le plus inconfortable,pour aller d'un endroit où on est bien vers un autre où l'on n'a rien à faire.

Pratique

Généralités

La voile est un sport, on l'a dit, de lopettes pédantes.
Démontrons que c'est en plus un sport de crétins en retard sur leur temps:

  • La voile a depuis longtemps été remplacée par le moteur
  • La voile est donc archaïque
  • Les voileux sont donc en retard sur leur temps. CQFD

On pratique la voile sur l'eau. Il faut donc un bateau, appelé généralement voilier. Les plus petits sont les optimists, coques de noix de deux mètres de long, avec une voile trapézoïdale unique, une seule personne à bord (bien qu'on ait vu des écoles pratiquant l'élévage intensif de moussaillons, à trois dans le bateau). On met généralement des enfants dans les optimists. Alors que tous les gamins font du football à 8 ans, il y a un petit pourcentage qui fait de la voile, forcé par papa et maman, et qui est rejeté par les petits footeux. Les plus grands bateaux font jusqu'à 70 pieds. On y met de une à plusieurs personnes, et comme ce sont des voileux, donc malaimés depuis leurs huit ans, on les envoie souvent faire le tour du monde pour qu'ils ne nous emmerdent pas. L'exemple type de la lopette-pédante-attardée-malaimée est Olivier de Kersauson.

Technique

Que ce soit sur un catamaran, un trimaran, un dériveur, un voilier, etc... le principe général de la voile est d'avancer grâce à la force du vent. Le kayakiste utilise sa force physique, le pilote de Formule 1 le moteur et donc la grande vitesse, le voileux utilise le vent: pas besoin de force physique, pas de vitesse non plus. Aucun intérêt, me direz-vous alors. Et bien... euh... non, en effet. La voile est un sport totalement inutile. Alors, le voileux se console (ou plus exactement se justifie) en disant qu'il pratique un sport qui fait marcher un peu les bras, et beaucoup les neurones: il réfléchit au sens du vent, au courant, à la dérive, à la gîte, ... En fait ce n'est qu'un prétexte, il n'y a aucun argument valable justifiant la pratique de la voile (à part peut-être créer des emplois chez Hobie Cat).
Pour faire avancer son bateau, le voileux utilise donc ses voiles. En fonction de l'orientation du bateau par rapport au vent, le réglage des voiles est différent. C'est donc très chiant, car cela oblige des changements constants de réglages, et parfaitement inutile (rappelez-vous ci-dessus: on a inventé le moteur). De plus, en cas d'erreur de réglages, le voileux peut vite partir à l'eau. Si on considère qu'en France pas mal de voileux sont en Bretagne, on peut alors dire que l'erreur en voile est synonyme de bain de mer (ou d'eau douce) à -8,5°C en moyenne 0°C pour les lacs ou 13°C pour les lopettes de la Méditerranée . Ce qui justifie encore et toujours moins la pratique de la voile, et démontre en même temps que le voileux est masochiste.

Compétition

Comme tout sport, malgré tout, la voile a ses compétitions. Elle sont en général aussi lassantes à voir que les courses d'escargots. Heureusement, la nature fait bien les choses, comme cela se fait sur l'eau, les spectateurs sont rares.
Pour les plus petits supports, les compétitions ont lieu sous forme de régates: on balance 3 bouées à la mer, et le premier qui fait le tour a gagné. C'est encore plus con que le saut d'obstacle.
Pour les plus grand bateaux, les compétitions se font sur de plus grandes distances, ce qui permet, on l'a dit, d'éloigner en plus pour un moment les voileux; ainsi, ils sont contents parce qu'ils font la course (comme dans tout sport, le principe du dernier arrivé paye un coup est roi), et les non-voileux sont contents aussi car ils ne voient pas les voileux. Au moins, c'est toujours ça de positif. Il existe des sports pour lesquels, lors de compétitions, on emmerde les non-pratiquants.


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